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L’hôpital CGT de Lannemezan a manifesté sa frustration envers la direction pour son refus de reporter un dossier. Ils ont également exprimé leur déception envers leurs collègues FO, SUD et CFDT.
Le vendredi 8 mars 2024 était le jour de la grève nationale convoquée par plusieurs syndicats, dont la CFDT, la CGT, la Confédération paysanne 65, FO 65, la FSU, Solidaire et l’UNSA. Lors de cette journée, l’agence F3SCT (anciennement CHSCT) a été créée et le personnel de l’hôpital CGT de Lannemezan a demandé à reporter le dossier concerné. Cependant, malgré l’existence d’une grève nationale, la direction a persisté à défendre ce dossier.
Les représentants de la CGT ont décidé de ne pas garder le silence et de ne pas participer à cette journée, alors que les trois autres syndicats ont participé de manière inattendue. Il y a une apparente discorde entre les représentants de la CGT et les autres syndicats. La CGT explique que lors du dernier F3SCT, ils ont signé la charte « Égalité des femmes et des hommes », mais il semble qu’il n’y ait toujours pas de financement pour le moment.
Le manque de financement pose question, car le F3SCT est un lieu où des questions de sécurité, de risques psychosociaux et de qualité de vie devraient être posées et discutées. Les représentants de la CGT ont exprimé leur insatisfaction quant à la gestion de la direction et l’absence de confiance dans le gouvernement.
Sud Solidaires, l’un des trois autres syndicats, a déclaré qu’ils luttent chaque jour pour les droits des femmes et qu’ils n’ont pas besoin d’une journée particulière pour cela. Cependant, ils estiment que participer à la F3SCT est le seul moyen de s’informer.
Les représentants de la CGT ont proposé de créer un comité paritaire hospitalier (CHP) pour remplacer l’actuel conseil de surveillance qui donne tous les pouvoirs au directeur. Ils interrogeront également les élus qui siègent au conseil d’administration.
En conclusion, l’hôpital CGT de Lannemezan est en désaccord avec la direction concernant la gestion de la charte « Égalité des femmes et des hommes ». Ils estiment que la direction décide selon ses envies et souhaiteraient qu’un CHP soit créé pour remplacer le conseil de surveillance actuel. Les représentants de la CGT ne sont pas les seuls à se poser des questions quant à la gestion de cette charte, car le manque de financement pour sa mise en place doit être discuté.