la restauration rapide et le snacking ne sont pas en crise

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Même en période d’inflation, la restauration rapide et le snacking ne sont pas en crise. Les Français en raffolent toujours, mais leur mode de consommation a changé.

En effet, les repas pris hors du foyer représentent désormais un tiers de tous les repas, à l’exception du petit-déjeuner et de la récréation, une donnée qui a été révélée dans l’étude Speed Snack lancée par le salon Parizza et le Sandwich & Snack Show à Paris. Les établissements les plus prisés sont les boulangeries (52 %), les pizzerias/ restaurants italiens (51 %) et les marques de restauration rapide (41 %).

Le succès de la restauration rapide est expliqué par des niveaux de prix abordables, même si les Français ont des limites psychologiques à ne pas dépasser, à savoir 10,5 euros pour le burger, 13,25 euros pour la pizza, 9,2 euros pour le kebab et 6,92 euros pour le sandwich à la boulangerie.

En parallèle de l’augmentation des prix, on constate également une diminution du panier moyen (15 % des personnes interrogées ont visité le même point de vente mais ont réduit leur panier moyen) et une diminution des produits d’épicerie, dont certains ont réduit leurs commandes tels que les desserts (14 %), l’alcool (13 %) et les boissons alcoolisées (12 %), les grandes et moyennes surfaces étant les gagnantes de cette tendance.

Les trois symboles préférés du snack, qui sont la pizza, le burger et le kebab, restent populaires. En revanche, l’hégémonie du sushi, qui occupait la troisième place depuis longtemps, n’est plus économiquement innovant ni compétitif et a vu son classement chuter. Il n’est plus dans le top 10 et a été remplacé par d’autres délices culinaires venus d’Asie, tels que le poké bowl et le pad thaï.

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