Réécriture de l’article :
Le maire de La Palme, Jean-Paul Fauran, a exprimé sa profonde déception à propos de la décision du préfet concernant la création d’une clinique de traitement du psoriasis aux salines de La Palme. Bien que sceptique, il a souligné l’importance de la protection de l’environnement, ajoutant que cette décision est une mesure punitive.
Le président de la commune a rejeté la plupart des arguments avancés par l’Etat, notamment en ce qui concerne la gestion de l’eau et des déchets. Aucun fonds de la ville n’a été utilisé pour le projet.
Bien que Jean-Paul Fauran soit conscient que des jeunes ont besoin de travailler, il estime que la mise en place de ce projet implique des risques environnementaux et que le développement durable prime sur les intérêts économiques.
Le maire ne sait pas si le promoteur contestera l’ordonnance devant le tribunal administratif de l’État, mais il pense que le projet est encore en train d’être discuté.
Concernant le terrain de la clinique, il appartenait au premier juge de La Palme. Cependant, le centre devait être construit dans une usine de sel et le service de l’État a refusé cette option. Le déménagement vers le centre-ville implique l’expropriation de plusieurs parcelles, dont celle appartenant au juge, mais il ne sait pas si la construction y sera réalisée.