Pour plus de la moitié de la population européenne, les substituts végétaux sont considérés comme des aliments ultra-transformés, selon une enquête menée dans 17 pays européens. Bien que conscients des effets néfastes des aliments ultra-transformés sur la santé, les Européens sont capables de faire des concessions pour les chips et autres aliments plaisir, mais pas pour les alternatives végétales. Les marques doivent donc se concentrer sur la réduction des additifs et produits chimiques dans ces aliments pour qu’ils soient mieux acceptés. L’étude a également révélé un lien possible entre la consommation d’additifs alimentaires émulsifiants et le risque de développer un cancer. Les Européens doivent donc être mieux informés sur la composition des aliments ultra-transformés et des alternatives végétales pour améliorer leur santé.